Du vent le matin, mais des rdv pour les réparations sur la remorque pour pouvoir rentrer. On en profite aussi pour faire un tour au forum Gurit.
Mais l'après-midi le vent est faible, et le plan d'eau est infesté de Moths et autres Wasps, donc on ne sait pas trop où aller pour dérouler nos lignes et décoller l'aile sans les gêner. On se met finalement sous le vent du rond Wasp. Cette fois encore on a des soucis avec le lancement sur l'eau, peut-être parce que les lattes ne sont pas suffisamment gonflées. et les lignes du kite ont au final des tours. On commence cependant à naviguer vers l'autre rive, là où il y a moins de monde. Là, on met l'aile à l'eau pour essayer de clarifier les lignes depuis le bateau. Mais le vent est faible, on galère à redécoller l'aile. Heureusement qu'il y a la cinquième ligne pour nous aider à la faire basculer. Il y a cependant une position dans laquelle l'aile n'arrive pas à reprendre le vent, mais on finit par s'en sortir.
On hésite plusieurs fois à rentrer le vent faiblissant. Mais avec un pomping de l'aile très dynamique (pas si facile au début avec l'aile de 17m2 qui a beaucoup d'inertie), on arrive à continuer à décoller même dans un vent très faible. Par contrer, c'est un peu dur de repartir dès que l'on s'arrête. Le pomping avec les lignes croisées n'est pas forcément facile et l'aile tombe plusieurs fois dans l'eau.
Dimanche 1er Juillet, lac de Garde, 10-15kt, LEI 17m2
Presque pas de vent du nord ce matin là. A 11h le vent est déjà passé au sud. Les Wasps sont déjà à l'eau, encore pas facile pour nous de partir. On tente la même stratégie que la veille vers midi. Cette fois encore le lancement de l'aile est une galère, mais on arrive tout de même à naviguer. Le vent est un peu plus fort que la veille, mais un peu rafaleux et on a du mal à voler de manière stable. Ou peut-être est-ce à cause des multiples tours dans les lignes qui créent une difficulté à bien sentir le kite et créent en permanence un pilotage un peu en retard du kite?
On attend un peu le photographe qui devait venir nous filmer, mais personne ne vient, si ce n'est un Wasp qui vient naviguer un peu avec nous. On croise les autres catamarans à foils en double, mais sans prendre le départ. On ne va de toute manière vraiment pas à la même vitesse, même si on bat notre propre record de vitesse avec 30km/h (quand d'autres vont à 30kt).
Les supports du haut des safrans sont de nouveaux lâches (ce peut-il que l'épaisseur de la coque réduise sous l'action de la compression et du frottement?) et nous finissons par rentrer pour ranger le matériel avant de prendre la longue route du retour.
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