J'ai redessiné une version légèrement renforcée, et avec quelques améliorations pour permettre un montage plus rapide. La version précédente avait été codée avec kokopelli dont l'usage n'est pas très répandu. J'ai recodé l'ensemble avec openscad pour une plus grande généricité. La géométrie en 3D a été projetée pour obtenir une géométrie 2D en DXF. Inkscape a permis de définir différents calques avant de lancer le plugin laserengraver pour générer le gcode.
La pièce a ensuite été découpée au laser dans du contreplaqué de 5mm d'épaisseur (j'ai profité d'une chute, ce qui m'a évité de refaire les réglages de focale et de vitesse de découpe).
Le support est à l'extérieur. A l'intérieur quatre attaches rapides (inspirées des tendeurs de tentes), ainsi que les deux barrettes servant à attacher la pochette étanche contenant le téléphone. |
Quelques nœuds et quelques tours de papillon plus tard voici le résultat (accroché à un ligne verticale).
Cela permet aussi de fixer le support sur les deux lignes d'un cerf-volant pilotable, le support fixé sur une seule ligne et l'autre ligne glissant dans le support.
Salut,
RépondreSupprimerLe montage est interessant, ceci dit à quoi sert le téléphone ? Déport de commandes ou prises de vues ortho?
Initialement, le téléphone devait-être le capteur pour connaître la position du cerf-volant. La ligne étant tendu, l'orientation du téléphone correspond à l'orientation de la ligne. Ainsi l'accéléromètre et la boussole, permette de savoir l'élévation et l'azimuth (donc la position du cerf-volant). Cela peut-être suffisant pour piloter un cerf-volant (les aveugles peuvent faire du cerf-volant pilotable). Pour un pilotage plus précis il faut également avoir l'angle de rotation du cerf-volant autour de l'axe des lignes. Pour cela, je souhaitais utiliser l'image prise par la vidéo du téléphone. J'ai développé un programme faisant la reconnaissance du cerf-volant (tournant sur un pc, et utilisant la vidéo streamé en wifi) mais ce n'était pas très robuste. De plus, mon téléphone ne disposant pas de gyroscope, la mesure des angles était perturbée par les accélérations du téléphone. Je me suis donc un peu détourné de l'utilisation du téléphone pour utiliser un capteur directement embarqué sur le cerf-volant, mais je n'abandonne pas l'idée d'accumuler des enregistrements avec le téléphone pour rendre dans un deuxième temps les algos plus puissants (ce qui permettrait également d'avoir une redondance en cas de perte du signal radio du capteur embarqué).
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