Cette semaine avait lieu la clôture de la première édition de "eco innovation factory", un accompagnement par Atlanpôle d'entreprises innovantes dans le "green".
Parmi les entreprises, Ocean Swing m'intéressait particulièrement. Cette entreprise lancée par 3 centraliens paris, vise à industrialiser le SEAREV, le flotteur récupérant l'énergie des vagues de l'école centrale de Nantes. Ils ont pour cela obtenu une licence exclusive sur la propriété intellectuelle correspondante.
Un avantage de cette solution est la robustesse, permise par le système de pendule interne, qui permet que toutes les pièces mécaniques soient à l'intérieur, protégées des éléments. De plus, l'absence de butée (le pendule peut faire un tour complet) permet de limiter les chocs et la casse.
La robustesse est primordiale pour les équipements marins afin de limiter les opérations de maintenance en mer qui sont à ce jour très couteuses.
On peut citer les malheurs du projet CETO, dont le prototype houlomoteur a été installé à la Réunion quelques jours avant le passage du cyclone qui l'a détruit.
Un tel flotteur serait parfaitement complémentaire d'une solution éolienne faisant appel à des cerfs-volants. Une idée nouvelle serait que le cerf-volant puisse servir à faire entrer le flotteur en résonance (factorisant ainsi le système de récupération d'énergie).
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